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Ce traitement, fruit d’une étude scientifique publiée dans le magazine "Nature Medicine", utilise les cellules immunitaires de l’organisme, appelées cellules T, pour cibler et détruire les cellules cancéreuses dans le cerveau, a indiqué la directrice du "Centre For Discovery in Cancer Research" de l’Université McMaster, Sheila Singh.
N'ayant été jusqu’à présent testé que sur des souris, la responsable a émis l’espoir d’entamer les essais sur l’homme avant 2030, notant que lors des prochaines cinq années, les étapes seront franchies pour passer aux essais cliniques.
La méthode mise au point par l’équipe de chercheurs pour traiter les tumeurs de glioblastome les a détruites dans au moins 50% des cas lors des essais sur des animaux, doublant la durée de survie.
Encouragés par ces essais, l’équipe a ensuite élargi les tests à d’autres cancers qui envahissent le cerveau, entamant les tests sur le médulloblastome pédiatrique, un cancer très agressif chez l’enfant, a noté Mme Singh, soulignant que le traitement a fonctionné, même quand il a été testé sur un cancer qui s’était propagé au cerveau à partir d’une autre partie du corps.